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- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - 2008-06-08 | [Acest text ar trebui citit în francais] | Înscris în bibliotecă de Ionuţ Caragea
Mère, Mère, je ne désire rien. L`Espagne rit sur mon corps
Comme un navire qui prolonge des larmes d`enfant sur un fleuve. Mais je ne désire rien, c`est peut-être que je me meurs? Toi tu pleures mon agonie, mais déjà il te manque l`époux pour te consoler, Mère. je ne désire rien, c`est peut-être que je me meurs? Seront toujours en danses comme le mal de la rue, Les enfants, Sans douleur à la poitrine et au front. Seront toujours à la danse, les enfants bruns Dont les jambes entremêlées glissent dans la nuit, en tendre cirque de chair, Mais moi je me meurs… Mais moi je me meurs… Je te laisse l`Espagne et tout les enfants et leurs pas d`amoureux, Et les taureaux vivants pénétrés de brûlures jusqu`au cœur. Je te laisse tout ce que tu vois avec ton âme et tes yeux noirs, Je te laisse l`Espagne, le soleil qui frôle sa langue Aux pierres dans un bruit des castagnettes, Tout, je te donne tout, Mère! Sauf moi car je meurs! Novembre 1958
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